quarta-feira, agosto 26, 2009

notre amour, récemment et après

à fabricia, ma p'tite


bras et yeux, souriants
des fleurs: danseuse
de la lune, des rêves.

un caillou sur l’herbe,
habillé de tempête:
ton sourire au chemin –

près du vent, folle et
trop aimée, blanche,
vibre, ta voix, ton goût –

un gris ne serait point
dans notre ombre, dans
les étoiles aussi brunes
de tes miroirs et visage.

j’attends, un tour du dire,
un mot de chanson
tourne rond: depuis mon
jour à toi, j’espère et vois
ta mer dernière – un
langage – on reste,
presque.




le tien

2 comentários:

olimpia disse...

Poemas assim, alegram os corações das madrinhas de casamento.
bj!
(o jogo das letrinhas debaixo novamente: desta vez estou vendo perio)
Puxa vida, parece customized.

olimpia disse...

Este post fez o blog ficar diáfano
leveza em pó
(usar sem moderação)