à fabricia, ma p'tite
bras et yeux, souriants
des fleurs: danseuse
de la lune, des rêves.
un caillou sur l’herbe,
habillé de tempête:
ton sourire au chemin –
près du vent, folle et
trop aimée, blanche,
vibre, ta voix, ton goût –
un gris ne serait point
dans notre ombre, dans
les étoiles aussi brunes
de tes miroirs et visage.
j’attends, un tour du dire,
un mot de chanson
tourne rond: depuis mon
jour à toi, j’espère et vois
ta mer dernière – un
langage – on reste,
presque.
le tien
2 comentários:
Poemas assim, alegram os corações das madrinhas de casamento.
bj!
(o jogo das letrinhas debaixo novamente: desta vez estou vendo perio)
Puxa vida, parece customized.
Este post fez o blog ficar diáfano
leveza em pó
(usar sem moderação)
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