à celle dans mes rêves et mes jours,
mais encore là, lointain.
lorsque le poème démarre,
aux yeux, le sourire et l'effroi:
l’un, cette temps, ce qui
rêve, les jouets et les
fleurs tous.
mais oui, aux yeux,
je puis voir – des cristaux –
le sang lointain, restent tes
doigts. quoi qu'il en soit,
aux yeux, le sourire et l'effroi:
l’un, cette temps, ce qui
rêve, les jouets et les
fleurs tous.
mais oui, aux yeux,
je puis voir – des cristaux –
le sang lointain, restent tes
doigts. quoi qu'il en soit,
dit-moi
à main, tourné,
de la joie, cet après-midi, dit
désormais, que la vie.
alors, ta musique, ce qui
est égal à moi dans l'ombre,
en branche, toujours
fragile,à main, tourné,
de la joie, cet après-midi, dit
désormais, que la vie.
alors, ta musique, ce qui
est égal à moi dans l'ombre,
en branche, toujours
dont l’on voile, entre le fleuve
et le bassin.
Um comentário:
Massa!
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